Trouver une chaise

troisième rappel …surtout pour les populations à risque .”Le plus difficile dans ce métier , disait Louis Jouvet, c’est de trouver une chaise …” vivement dimanche !…

Un vrai métier?…

Quand on nous complimente sur la qualité de notre travail, c’est sûr que ça fait chaud au cœur Et puis , c’est la réplique la plus courue de la profession avec l’indétrônable ” à part ça vous avez un vrai métier ” … Tout ça c’est histoire de rappeler que la rue des Arts c’est dimanche à Barr de 10h à 18H …J’avais dit qu’il n’y aurait pas de rappel ; j’ai menti . mais je ne suis pas le seul à mentir à propos des rappels , et je ne parle pas de ceux du spectacle vivant …

Jardin de Bourbon – Eden

C’est toujours la même vieille histoire qui se rejoue ; une pomme , deux poires et des tas de pépins …Un peu comme les sordides manipulations pour les luttes de pouvoir auxquelles on va assister au palais Bourbon qui n’est pas l’enfer, certes, mais qui n’est pas non plus pavé  de bonnes  et belles intentions…Aussi, si la pomme de discorde c’est cette  fichue majorité absolue il manque une quarantaine de poires pour qu’elle puisse être croquée… Une chose est  certaine ; ça va être pour nous  les pépins !

Le spectacle est dans la rue

La rue en question c’est la Rue des arts à Barrc’est dimanche prochain le 10 juillet et j’y suis comme habituellement à l’emplacement numéro 1 avec dessins illustrations , et tutti quanti.  Pour une fois je préviens une semaine à l’avance et comme je n’ai pas une autorisation vaccinale en bonne et due forme, il n’y aura pas de rappel Aussi ( comme on dit en Australie ) merci de faire circuler . Nous sommes un grand nombre à exposer ,il y a beaucoup à voir et le spectacle est aussi dans la rue . Et certains commerces sont ouverts, bref de quoi échanger et passer une belle journée, non? comme ça vous êtes tous prévenus ( comme dirait le magistrat de hier )…

joyeuse fête Tonton

C’est le  4 juillet! la fête de l’Oncle le plus réac de la joyeuse famille des démocraties…Bonne fête Sam ! et puis un autre dessin et  peut être un rapport avec les nouvelles nominations et non renouvellements pour certains …la politique est cruelle et les gens sont méchants …

c’est reparti pour un tour!

Oui ça y est c’est reparti pour un tour !… avec les marronniers habituels sur le dopage et tout le barnum …j’en profite une fois pour toutes pour expliquer, toute suffisance mise à part , que le terme approprié c’est “à” vélo et non “en”.  Le mésusage est très répandu. 
> > C’ est pourtant simple : on utilise “à” lorsque c’est ouvert : à pied , à cheval , à bicyclette et “en” lorsque c’est fermé . ( en voiture et en bateau ) Le moyen mnémotechnique : à poil et enceinte . vous avez de la chance d’habitude j’utilise le mot peu aimé par Brassens pour illustrer mon propos, mais là c’est le premier juillet c’est le mois des bonnes résolutions en matière d’éducation pour marquer la fin du temps scolaire . Ah j’oubliais l’exception qui confirme la règle . c’est la diligence , on dit à pour le cocher/cow -boy car il est à l’extérieur et en pour les passagers . 

Redevance: le feu au lac!…

C’est jeudi . Le moment est mal venu pour envenimer le débat dans  des considérations plus ou moins hasardeuses avec plus ou moins de mauvaise foi sur le bien fondé de l’audiovisuel du service  public. Le jeudi pour ceux d’entre nous qui ont eu la chance de naître avant la Cinquième République était le jour de repos hebdomadaire des jeunes gens en état d’être scolarisés. C’était aussi le jour des trente minutes  attendues du “cavalier qui surgissait lors de la nuit courant vers l’aventure au galop et signant son nom à la pointe de l’épée” programmées en milieu d’après midi , avec le goûter mais attention , après avoir fait les devoirs . On ne va pas pleurer sur une époque où les accents de la musique royale ponctuaient l’ouverture et la fermeture du service public avec un premier ministre  qui pouvait s’adresser en direct aux Français  dans une mise en scène quasi soviétique et où l’essentiel des échanges le matin chez les différents commerçants se concentrait sur les rebondissement de la vie et les déboires  d’un marinier incarné par christian Barbier . On pourrait pour mieux comprendre l’évolution aller encore plus loin que Gabor dans sa loi ( qui n’est pas à proprement parler une loi mais plutôt une maxime) et prétendre que “si il s’avère possible  qu’une situation pourrie puisse pourrir un peu plus alors elle pourrira” mais là ça deviendrait triste à pleurer.  Qui pleure d’ailleurs ? Pas moi… Mais peut-être cette brave dame , il y a fort longtemps , alors que jeune père je m’interrogeais en réunion de parents d’élèves sur les dangers potentiels de l’appareil de télévision , m’avait répondu sur un ton  moqueur et rassurant “moi monsieur je fais confiance aux thérapeutes du futur “. 
> Mais tout ça ne nous ramènera pas Sigismund …oui, ce n’est qu’après qu’il s’est fait appeler Sigmund. C’est la souris qui me l’a appris en avouant avoir chicoté autour d’un vieil exemplaire d’un magazine littéraire.