Alors que le monde s’embrase, peut-être la littérature nous serait-elle d’un peu d’aide pour comprendre cette lutte perpétuelle entre le bien et le mal qui changent souvent de camp en fonction de celui à qui le romancier a donné la parole du capitaine ou de la baleine ? Le poète , lui, préfère donner raison au fils qui ne veut plus chasser la baleine…Lire et relire Melville et Prévert…pour redonner un peu de clarté , un peu de lumière face à ces écrans si sombres.?.. comme une réplique d’un film de Capra :” lighthouses, lighthouses in a foggy world”