C’était une chanson de François Béranger
J’aimais bien les paroles du refrain:
“Oui, oui, dis-moi oui
Avant qu´il ne soit trop tard.
On n´a plus vingt ans,
On sera bientôt une vieille histoire,
Vivons maintenant,
Arrêtons de remonter le temps,
De nous déchirer
En cognant sur nos vieilles blessures“.
ça me fait penser à ce qui nous occupe localement jusqu’au sept avril.
Un mien correspondant, membre d’un conseil municipal, me fait suivre un mail envoyé par nos trois présidents, que je ne livrerai pas ici, car on trahit pas les sources hein. Vous n’avez qu’à demander à l’un de vos conseillers municipaux. La campagne est donc bien lancée, puisque les élites mouillent leurs chemises…afin que le oui triomphe largement.
Au fait qui paie tout ça ? Ces mails, ces bouquins ? Est-ce que c’est dans le budget prévisionnel ?
On verra bien, à la fin, si Béranger avait raison de chanter dans son dernier couplet :
“Mais qu´importent les mots, les phrases,
Qu´est-ce qu´on attend pour fusionner,
Se rassembler, s´identifier ?”
Prophétique non?
Sacré François….