Boucherie territoriale – gros, demi -gros, détail-…
On a le droit de penser que Mme Belkacem trahit la laicité, est le cheval de Troie de tout un tas de fantasmes et la démonstration la plus calamiteuse des désastres que font la post-modernité dans ce pays. On en a pas pour autant le droit de l’insulter dans des propos orduriers.
De la manif pour tous à la manif pour rien
CHRONIQUE D’ANTICIPATION
Bon nombre de camarades (merci de comprendre ce mot dans son sens non perverti par les heures sombres de notre histoire récente) auront marché en Rot un Wiss et il me peine d’avoir à leur dire que marcher derrière des gros cons, c’est quand même cautionner une grosse connerie. De temps en temps, il faut admettre que l’invective et la colère ont du bon. Aussi aurais-je pu me laisser aller à dire que cette manif de merde, depuis son annonce honteuse, je chiais dessus et que je suis allé m’essuyer dans le compte rendu du torche cul local qui avait déjà reçu l’assentiment du président du Conseil régional un mois avant parution. Pardonnez-moi, ça soulage quelques fois de ne pas rester dans le non-dit. A vrai dire, le onze octobre, tout bien réfléchi, je m’en fous. Je suis allé boire un café place Stanislas, au Foy, avec quelques vieux camarades lorrains qui eux ne manifestaient pas, ne manifestent plus et qui n’arrivent toujours pas à comprendre comment je peux à ce point aimer une région qui n’en a rien à foutre de moi et met un tel entêtement biologique à se laisser manipuler à ce point…
(cette chronique a été écrite avant le onze octobre)
LA GROSSES ELSÄSSISCHES ARSCHLACKER COMPANY
J’apprends que la manifestation citoyenne de septembre est apellée à rejoindre le rassemblement de faux culs enrubannés de tricolore qui aura lieu en octobre au nom du front commun ! il n’y a pas de front commun, il n’y a qu’un cul commun, celui du gross Paris, que nos élus ont tellement léché qu’ils y ont usé la langue qu’ils ne peuvent même plus articuler dans leur idiome ancestral. C’est moi l’âne lorrain qui vous l’affirme.
Tout le reste est du même tonneau que ce qui vient de se vendre à plus de deux cent mille exemplaires au nom de la déchéance la plus institutionalisée : de la très médiocre littérature pour ménagères voyeuses, qui sont passées du best-seller de Madame de Beauvoir, auxquelles leurs mères ne comprenaient rien, aux gadgets sexuels en matière recyclable,qui font doucement rigoler leurs filles, au nom de la sainte-eglise-du-cul-durable et du pos-féminisme unifiées.
Pauvre Alsace, car malheureusement avant tout : pauvre France !
Valérie vendredi…
Et moi je me demande si à la fontaine de la bière de Mutzig ce dimanche ( on est bien obligés de dédicacer sur les événements hautement culturels de la vallée étant donné qu’il n’y a plus de librairie entre Strasbourg et Saint-Dié !…), oui je me demande si je vais signer en une journée autant d’ouvrages que Mme Trierweiller en trois minutes dans la première librairie qui va l’accueillir en dédicace…
Allez un petit dessin alimentaire avant de finir complètement à l’envers….
Cinquante nuances d’aigrie ou un monde de crétins parfaits
Il faut plaindre Valerie Trierweiler qui doit sans doute encore aimer le pauvre homme qui dirige ce pays, pour vouloir à ce point se faire détester, malheureuse qu’elle est de ne plus pouvoir être aimée. Face à tous les collabos de la post modernité qui vous trouveront mille raisons de lire cet objet salement identifié, il vous faut invoquer la seule et unique raison de ne pas le lire. En effet, le pauvre ouvrage de Madame Trirweiller ne doit en aucun cas être lu parce que ce n’est tout simplement pas de la littérature. Point.
Le chomâge a explosé, le budget est à la dérive, la dette est colossale et la France, qui a encore loupé la coupe du monde de football, va aller se changer les idées en allant jetter un coup d’oeil sur les moquettes de l’Elysée. La vraie pornographie. Celle dont parlait le père Baudrillard à propos du plus visible que le visible…
Genre innommable et illisible
La rentrée des nazes
Demain c’est le grand jour en Alsace comme ailleurs.
Cet adjectif, pas besoin de le préciser, ne vient pas souligner une surcharge pondérale quelconque ou un embonpoint très marqué à gauche, à droite ou au centre, mais plutôt renforcer la lourdeur avec laquelle ceux qui nous dirigent mettent un entêtement quasi biologique à sévir sans aucune honte.
Gros inutile c’est de toutes façons un pléonasme. A ne pas confondre avec un oxymore. Président du Conseil régional : ça c’est un oxymore ! C’est la rentrée, il ne faut pas trop en demander.
Peut être l’oxymore qui dirige la région va -t-il en profiter pour annoncer le nom de son futur parti?
On devrait prendre les paris… ha ha les paris….
Ah la langue française, quel bonheur…
Une clique de têtes à claques
Manu le Charlot manquant
Pour le reste, respect à Wolinski qui, lui, ne va pas faire un caca nerveux pour que la légion d’honneur lui soit remise par le chef de l’état, à l’Elysée. Comment peut-on avoir tant de talent et être si décalé?…. Got vertami! (Ungerer)
ET BIEN SÛR TOUS CES DESSINS, ET D’AUTRES PIRE ENCORE, CE DIMANCHE à LA STUB DES DEUX ETANGS à HEILIGENBERG POUR LA FÊTE DE LA TOTSCHE !!